Cahier de l’entrée Soigner /Prévenir
Prévention et soins de personnes ou populations précaires est possible et efficace, moyennant organisation et réponses adaptées, et tissées en lien avec les personnes concernées
Cf ci dessus
Soutiens symboliques (et parfois financiers) des institutions concernées.
Acceptation d’une évolution des méthodes de travail (décloisonnées en réseau) et du regard porté sur les besoins et choix des personnes concernées (fréquents préjugés et impact d’une « idéologie du soin » très médico technique et cloisonnée).
L’idée est un développement progressif en tache d’huile, sans illusions de généralisation, compte tenu de la novation relative du projet.
(à venir)
Croisement entre les inititatives type « recherche action », et l’organisation verticale habituelle (par exemple avec ARS et DT ARS), et liens avec des structures homologues, comme d’autres hopitaux du département, visant à « promouvoir » la méthode utilisée, compte tenu de sa faisabilité et de son efficacité (dé)montrable
Le lien cohérent, et les rencontres évaluations pragmatiques (points forts points faibles, succès et échec), très transversal entre institutions (conseil général, hopital), et associations, ayant des objectifs élargis de soutien aux personnes concernées est un des items de succès, via un « réseau de santé » et pas seulement de soins, à la fois souple et fonctionnel.
Encore insuffisant, en terme de résultats évaluables, et de démarche élargie au dela du noyau porteur initial :
Mais les indicateurs actuels d’efficacité permettent d’accumuler des descriptifs qualitatifs de parcours, confirmant l’impact (suivis continus ou repris après ruptures transitoires, via l’accompagnement médical, social et de sens donné aux propositions (y compris par rapport à des représentations culturelles de la maladie interférant avec l ‘implication ou non dans la démarche proposée).
travail de réseau avec rencontres préliminaires puis régulières pour organiser les taches de chacun, puis structurer les choses en s’ adaptant aux populations et à leurs contraintes, internes ou externes (exemple expulsions de lieu de vie ou du territoire..)
Les partenaires décrits, et plus spécifiquement la cellule plan tuberculose du conseil général 93.
Décloisonnement, à partir de l’organisation et du financement de chacun.
Les financements spécifiques peuvent se limiter alors à celui des temps transversaux, de rencontre et d’échange (les liens sont « chronophages » en eux même !), et quelques financements spécifiques de moyens indispensables aux actions (comme traduction, médiation, accompagnement social..)
Conseil général, (équipe médicale, infirmière, sociale), centre hospitalier de Saint Denis, Médecins du Monde, CASO Saint Denis et « mission Rom », comité d’aide médicale,
Enquetes et prises en charge sont souvent « familiales » et peuvent impliquer différents ages : bébés, jeunes enfants, adolescents, adultes, et sexe masculin ou féminin…
La pathologie, prévention ou dépistage, croise de fait, jeunes et moins jeunes…
Décrits ci dessus
« Niches de pratiques » dans un monde de la santé marqué par la crise, crise financière et souvent crise de sens, du fait d’un cloisonnement et enfermement dans une vision médicotechnique dominante (voire écrasante !).
« On peut faire autrement, cela marche et cela vaut la peine » !
Idem
Les changements positifs arrivent souvent par les marges, qui démontrent petit à petit leur caractère pertinent, d’abord, puis « central » plus tard (et parfois seulement !).
Un cas particulier modeste, mais concret et assez aisé à suivre et évaluer
Idem, descriptifs de cas et de parcours, et de l’organisation en réseau pluri professionnelle et pluri disciplinaires, plus indicateurs d’évaluation quantitatifs « classiques », attendus et souvent exigés par les décideurs financeurs.
Idée d’ensemble : Innovation et adaptation pragmatique, croisée avec objectifs « habituels » ou du plan de santé publique concerné.
Cas concrets, et parcours décrits…
Croiser « réussites » et cas en échec, pour montrer à la fois faisabilité, efficacité, mais aussi difficultés et limites.
Une structure institutionnelle : Le conseil général 93, et son département santé publique, mettant en place un « plan tuberculose ».
Repérage de personnes ou populations cibles (endémie tuberculose et facteurs de risques individuels liés à la précarité de vie)
Mise en place d’un réseau médical, social, hospitalier et associatif
Sanitaire et social…
Institutions et associations…
Sciences bioloqiques et sciences humaines…
Implications éthiques et politiques
Institutionnelles (plan tuberculose issu d’un financement santé publique), financements propres des partenaires, comme Médecins du Monde, et quelques financements complémentaires spécifiques à la marge, comme ceux pour les interprètes médiateurs accompagnateurs Roms.
Réponses souvent inadaptées car cloisonnées et trop « médicotechniques
Cas concrets décrits « à plusieurs voix » : Professionnels médicaux, sociaux, et intervenants accompagnants (interprètes médiateurs)