Choisissons notre santé !

Cahier de l’entrée Soigner /Prévenir 

Argumentaire

La prévention est encore un monopole de la santé publique et de la médecine allopathique, alors qu’elle nous concerne tous !

Au plus les citoyens sont malades, au plus les professionnels gagnent de l’argent ! Comment voulez vous qu’ils favorisent la santé ? C’est illogique ! En Asie les médecins sont payés en fin d’année pour avoir maintenu la bonne santé des individus et si ces derniers ont été malades au cours de l’année, une déduction est faite au prorata du nombre de jour de maladie ! Ça c’est logique !!

La France, comme tout pays industrialisé, est soumise à un dogme du tout chimique et de la dépendance médicale, il y a ceux qui savent réparer (les experts) et ceux qui « consomment la santé sans posséder la connaissance » (les patients). Trop souvent le médecin fait un diagnostic par rapport à des symptômes identifiés et prescrit un traitement pour les réduire voire les supprimer, le patient n’étant pas en mesure de poser des questions.

Les médecins manquent de temps (le nombre de médecins sortant des fac est trop limité), rare sont les échanges permettant au patient de comprendre concrètement et simplement ce qui se passe, rare est l’information qui lui est transmise lui permettant de choisir entre diverses possibilités.

Il n’existe pas d’éducation loyale à la santé, on désapprend le corps dès la + jeune enfance et même dès la naissance et on empêche les individus de devenir responsable et donc autonome face à leur corps, leur santé et par extension leur VIE. L’autonomie se résume à une auto- médication chimique ou naturelle toujours dans une approche symptomatique mais souvent sans fondement objectif, ni vigilance d’où le danger de cette « tentative d’autonomie ».

Cette situation renforce la dépendance médicale car on en devient tributaire pour connaître ce qui se passe dans notre corps. De plus, la plupart de nos « médecins de famille » s’opposent très souvent à notre volonté de chercher un autre traitement que celui qui est prescrit lorsqu’il ne nous convient pas ou lorsque l’on veut sortir du tout chimique.

Dès que l’être humain active sa propre capacité de rétablissement pour ne pas dire de guérison (sans intervention externe), les médecins parlent d’effet placebo, ce qui renforce à dénaturer notre responsabilité personnelle dans les processus d’amélioration comme d’aggravation. Cette dénaturation de notre responsabilité est renforcée par la culpabilité voire même la culpabilisation normative, concept cher à nos sociétés occidentales (et judéo- chrétienne), ce qui empêche la prise de conscience positive et créatrice de changement.

La formation et l’information des médecins, des professionnels de santé et structures sociales (mutuelles et autres) sont incomplètes – l’information qui leur est transmise est manipulée et les maintient dans l’ignorance et l’inconscience. Malgré une bonne intention de leur part, ne pouvant concevoir que le système de santé est motivé par des enjeux économiques et de pouvoir, ils se retrouvent à cautionner sans le savoir, ce système qui fait de la maladie une marchandise et donc un moyen de gagner toujours plus d’argent. Peu importe si ce système va à l’encontre de la santé des individus.

En faculté, le message véhiculé « qu’il n’y a pas d’autres vérités » révèle bien l’influence des lobbies jusque dans la formation des professionnels.

La vaccination n’est pas la prévention de la santé mais celle de la maladie car elle nuit à la santé. Elle est obligatoire sans qu’il soit transmis une information claire, loyale et appropriée.

Jean Rostand, biologiste disait : « L’obligation de subir nous donne le droit de savoir. ».

Là encore formatage des médecins quant aux bienfaits de la vaccination et aux risques, qui n’ont pas accès à une information complète et qui transmettent surtout les dangers (certes objectifs et réels pour certains) en cas de non vaccination - alors qu’il existe plusieurs moyens, autres que le chimique pour être vacciné et les dangers ne sont pas aussi nombreux que ce que la médecine officielle prétend !

« L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se propage et se multiplie, la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit. » (Gandhi, La jeune Inde).

Comment les lobbies arrivent-ils à asseoir leurs stratégies de profit ? Nos experts de santé seraient-ils incompétents et donc pas si experts que ça ?

La volonté politique quant à elle favorise, nous l’avons bien compris, l’assistanat et non la prévention ! Mais alors pourquoi ? Est-ce également par ignorance ? Nos experts politiques seraient donc également ignorants ? Notre santé humaine seraient donc entre les mains de personnes incompétentes, cela paraît tout de même absurde et en y regardant d’un peu plus près on constate aisément que les enjeux politiques sont trop souvent mêlés aux enjeux économiques des laboratoires et multinationales.

Le livre de Sylvie Simon «  La nouvelle dictature médico-scientifique » aux éditions « dangles » révèle bien les liens des laboratoires et multinationales avec les gouvernements et les structures de contrôle et de régulation de la santé telles que l’ordre des médecins, l’académie de médecine, l’afssaps et toutes les « hautes autorités » soit disant créées pour protéger les individus contre les charlatans, les sectes et les produits dangereux pour la santé. Ces liens révèlent une finalité toute autre, celle de gagner toujours plus de pouvoir et d’argent en se foutant de la santé, de l’intérêt et du libre choix des individus. On vit dans un pays « où la science règne en maître tout puissant et gère nos existences » comme le démontre si bien Sylvie Simon et « Dans un monde où chacun triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan » (André Gide).

Une des personnes de la table citoyenne a participé à l’automne 2009 à un colloque sur « Les médecines parallèles et les dérives sectaires » organisé par le GEMPI, en présence notamment de la MIVILUDE. Le discours qui était prôné, était le suivant : « Soyez vigilant face à l’information qui vous est transmise sur la santé et notamment concernant les soins thérapeutiques « alternatifs » car ils peuvent s’avérés être très dangereux. Lorsqu’en général des professionnels « alternatifs » ne vous donnent aucun élément objectif, méfiez-vous et n’hésitez pas croiser l’information que vous avez reçu ».

Jusque là le message se veut plutôt sécurisant pour notre santé, juste et sérieux. Ensuite, il a été pris entre autre comme exemple, les soins thérapeutiques contre le cancer proposés par le docteur Hamer, en précisant comme argument objectifst que de nombreuses personnes en sont mortes. Là encore on est face à un message qui se veut stimuler le discernement, donc tout à fait cohérent.

Ensuite, une personne (jeune) du public pose la question suivante : « pourriez vous nous transmettre les statistiques de réussite et d’échec du protocole thérapeutique proposé par le Dr Hamer et celles en relationt avec l’utilisation de la chimiothérapie comme traitement ? » La réponse a alors était inacceptable car non seulement CES experts de la MIVILUDE n’avaient pas l’info et le Dr RUFFO, éminent médecin reconnu par ses pairs a pris le micro en disant : « ma petite dame si vous êtes venue pour remettre en question ce qui est établi depuis déjà des décennies, vous perdez votre temps et vous nous faite perdre le notre ». La jeune femme a alors répondu qu’elle cherchait juste, comme il avait été recommandé, à disposer d’éléments objectifs pour utiliser son propre discernement face à l’information qui lui était transmise et qu’elle souhaitait utiliser son propre discernement en toute circonstance et pas uniquement lorsqu’elle avait à faire à des professionnels dit « alternatifs ».

Comment sensibiliser d’autres acteurs

Transmettre l’appel de Philippe Desbrosses, docteur en Sciences de l’environnement, Expert-consultant auprès de l’UE et du parlement européen, Président du comité de direction d’Ecovert et directeur du centre pilote « La ferme de Ste Marthe » qui a écrit dans la préface du livre de Sylvie Simon : « La survie de la planète et le bien-être de ceux qui la peuplent […] passent par des actions courageuses qui ne viendront pas « d’en haut » comme on le croit généralement. Prenons conscience que nous sommes à une étape cruciale dans un débat de civilisation, qui, si nous n’y prenons pas garde, avec les manipulations de toute nature – génétiques, politiques et psychologiques – peuvent nous ramener aux heures les plus sombres de l’histoire. […] épargnons-nous des souffrances inutiles générées par nos attitudes complaisantes, pour ne pas dire complices, avec le mensonge institutionnel »

Conditions du développement

Se rassembler, s’unir et échanger pour co contruire ensemble des actions, en mettant en priorité les enfants et les expérimentations !

Facteurs de succès

1) A la fois il est nécessaire de rêver ! Mais il est également nécessaire de mettre en place des moyens réalistes.

L’appel des EG est une initiative qui a du sens sur le fond mais « à mon sens » pas sur la forme, à moins une fois de plus de partir d’en haut sans qu’ils puissent être accessibles aux acteurs de la base ni aux citoyens !!!

Le temps imparti pour chaque phase des EG est trop court, il est entre autre impossible, sauf pour les retraités, de mener à bien le processus uniquement dans une démarche bénévole !

Votre petit cadre vert qui explique comment remplir la partie « Je développe, nous développons » est tout simplement irréaliste sur 2 mois pour en arriver là !

C’est un facteur d’échec car du coup ça a démotivé plus d’une personne et plus d’un collectif qui pourtant auraient été très intéressant à intégrer.

Ne pas reproduire cette pression, ni ce tri par la forme, me semble être un facteur de succès des EG … surtout sur la santé !!!!

2) Lâcher certaines croyances (issues de peurs) pour adopter un nouveau regard plus constructif :

  • oui c’est possible de co-construire un système de santé en impliquant autant les experts que les citoyens à tous les niveaux… Il n’y a pas que les acteurs d’une économie « sociale » qui sont crédibles pour faire partie des comités de pilotage national !!

  • Oui c’est possible de croiser les médecines allopathique avec les médecines complémentaires pour une véritable complémentarité au lieu de les juxtaposer ou les opposer.

  • Oui c’est possible de changer de paradigme : prendre conscience de sa santé avant d’avoir un problème

  • Oui c’est possible de mener une campagne d’éducation à la santé dès la naissance

  • Oui c’est possible de choisir pour finalité des enjeux humains et non économiques.

  • Oui c’est possible de prendre en compte l’individu dans sa globalité (corps, émotions, pensées, énergie, esprit) sans être sectaire !

  • Oui c’est possible d’utiliser les mots « esprit et spirituel » au même titre que « corps et corporel » et tout en restant laïque !

Impacts de l’initiative

Equilibre TV, c’est en moyenne 75 000 visiteurs uniques par mois pour env. 200000 visiteurs au total par mois.

Ce sont des temps de sensibilisation, de conférences et de rencontres citoyennes tous les mois.

C’est pour finir env. 4 participation ou co-organisation d’évènements par an.

Le centre de ressource étant pour l"instant rarement visité.

L’impact qualitatif n’a pas encore été observé, fin 2011 pourra donner plus d’éléments à ce sujet.

L’organisation

Elle s’inscrit dans une réflexion autour de la coopération, cherchant à intégrer l’informatique pour servir le projet et les personnes et permettant de créer de l’intelligence collective.

La structure, porteuse de l’initiative

Access Equilibre entre autre, cependant c’est avant tout en tant qu’humaine que j’interviens dans les EG

Le modèle financier

Utiliser les profits de l’industrie pharmaceutique pour mener des actions.

Les décideurs pourraient taxer un % sur leur profit en fonction des effets secondaires des traitements.

Comme pour l"impact sur l’environnement, on pourrait mesurer l’impact sur l’humain et déterminer un taxe en fonction de cet impact, qui permettrait de financer des projets de prévention et d’éducation à la santé pour les jeunes car la priorité sont nos enfants si nous souhaitons changer de processus par la base !

Les acteurs (Qui ?)

Des praticiens de médecines complémentaires, des enseignants, des médecins, des citoyens militants et des professionnels de la communication et de la vidéo.

Les jeunes

développement d’action de sensibilisation auprès des collèges.

Les partenaires

Ce seront surtout ceux qui souhaitent travailler ensemble !

Access Équilibre par ex est entrain de développer des partenariats avec des médecins conscients, des praticiens de médecine complémentaire, des médias libres et des collectifs de citoyens ayant les mêmes finalités.

Message à l’opinion

Philippe Desbrosses, docteur en Sciences de l’environnement, Expert-consultant auprès de l’UE et du parlement européen, Président du comité de direction d’Ecovert et directeur du centre pilote « La ferme de Ste Marthe » a écrit dans la préface du livre de Sylvie Simon : « La survie de la planète et le bien-être de ceux qui la peuplent […] passent par des actions courageuses qui ne viendront pas « d’en haut » comme on le croit généralement. Prenons conscience que nous sommes à une étape cruciale dans un débat de civilisation, qui, si nous n’y prenons pas garde, avec les manipulations de toute nature – génétiques, politiques et psychologiques – peuvent nous ramener aux heures les plus sombres de l’histoire. […] épargnons-nous des souffrances inutiles générées par nos attitudes complaisantes, pour ne pas dire complices, avec le mensonge institutionnel. »

Coluche disait également que notre porte monnaie a un immense pouvoir.

Nous pouvons choisir de consommer de manière responsable même en ce qui concerne notre santé.

L’assurance maladie comme son nom l’indique n’est pas l’assurance santé.

Elle ne permet pas un accès à des traitements « gratuits » pour tous, cette situation est un leurre. Non seulement les plus pauvres ne peuvent y accéder et leur coût est certes dérisoire pour ceux qui les consomment mais regardons de plus près ce qu’ils rapportent à ceux qui les vendent, car le prix de ces traitements, est dilué dans la masse en étant récupéré en amont de nos salaires.

Motivons la volonté de participer à la définition d’un système de santé afin que les décideurs ne tiennent plus le discours suivant : « la définition du système de santé est une question d’expert et ni elle intéresse les citoyens, ni elle leur est accessible. »

Message aux décideurs

Lever les manipulations et langue de bois car en privé vous êtes nombreux à être conscients de la situation mais en public vous n’avez pas le même discours en le justifiant de la manière suivante « de part mon mandat ou mon poste, j’ai des obligations de réserves qui m’empêchent de dire franchement les choses ».

C’est très grave ! car ça cautionne et maintient les dysfonctionnements !

«  Celui qui ne gueule pas la vérité, lorsqu’il connaît la vérité se fait le complice des menteurs et des faussaires » (Charles Peguy).

Message à ceux qui font l’ESS

L’emploi et la consommation responsable sont des thèmes chers aux acteurs de l’ESS.

La santé, en revanche est peu mobilisatrice de militantisme au sein de ces acteurs alors que si la santé n’est pas au RDV, le reste ne peut pas suivre !

A quand dépassera t-on l’idée reçue que c’est une question d’experts et non de citoyens ?

A quand appliquera t-on pour soi les valeurs et l’éthique de l’ESS que l’on souhaite développer à un niveau collectif, notamment le respect de l’humain et de la Terre ?

Si on ne respecte pas son propre corps, pourquoi demander de respecter les humains ?

On a conscience des résultats positifs de la prévention comme éviter de fumer (par exemple) et pourtant nous n’arrivons pas à mettre en place durablement une hygiène de vie favorable pour notre santé. Il est temps de montrer l’exemple du mieux possibles car certes ce n’est pas facile et personne n’est parfait mais en s’unissant aussi autour de ce thème incontournable de la santé, nous pouvons nous entraider !!

Proposition pour influencer les décideurs

Le changement est entrain de se faire par la base, aussi il serait temps que vous vous mettiez au service du peuple et non au service de vos intérêts politiques, si vous souhaitez préserver vos postes !

Votre priorité c’est de vous faire de la pub au travers de mouvement tel que celui mené par les acteurs de l’ESS. On le voit bien au niveau local, Beaucoup d’entre vous allez là où c’est la mode pour gagner des voix …

Avant d’être des décideurs, vous êtes des humains et citoyens comme tout le monde. Si vous vous croyez à l’abri des problématiques du peuple c’est que vous n’avez rien compris. La Terre, si elle « explose », c’est tout le monde qui va mourir … les radiations nucléaires par ex, ne vont pas choisir qui elles vont contaminer ! Elles ne vous épargneront pas !

Propositions pour convaincre l’opinion

IDEM : Transmettre l’appel de Philippe Desbrosses, docteur en Sciences de l’environnement, Expert-consultant auprès de l’UE et du parlement européen, Président du comité de direction d’Ecovert et directeur du centre pilote « La ferme de Ste Marthe » qui a écrit dans la préface du livre de Sylvie Simon : « La survie de la planète et le bien-être de ceux qui la peuplent […] passent par des actions courageuses qui ne viendront pas « d’en haut » comme on le croit généralement. Prenons conscience que nous sommes à une étape cruciale dans un débat de civilisation, qui, si nous n’y prenons pas garde, avec les manipulations de toute nature – génétiques, politiques et psychologiques – peuvent nous ramener aux heures les plus sombres de l’histoire. […] épargnons-nous des souffrances inutiles générées par nos attitudes complaisantes, pour ne pas dire complices, avec le mensonge institutionnel »

Présentation de l’initiative (Quoi ?)

Créer en 2006, Access Équilibre a pour mission de faire savoir au grand public qu’être en bonne santé c’est une question d’équilibre personnel et intérieur, environnemental et sociétal et que cet équilibre est accessible à tous.

Comment ? Par la diffusion d’informations libres sur Equilibre TV (média web), par un centre de ressource au 74 rue Grignan 13001 Marseille, par l’organisation et la participation à des conférences, évènements et différentes rencontres citoyennes permettant de mettre en lumière le positionnement des divers acteurs et enfin par la sensibilisation à la santé au travers de la découverte de « gestes » et pratiques de santé et bien-être prenant en compte l’individu dans sa globalité.

La finalité d’Access Équilibre est de participer à la construction d’une société d’intelligence collective intégrant la conscience de soi, du collectif et de la terre. Un système socio-économique solidaire, basé sur l’échange et le don où la finalité est l’humain, l’abondance et l’amour et non le profit.

Quelles alliances positives ?

  • Praticiens de médecines complémentaires et médecins marginalisés par l’ordre des médecins avec les mutuelles et complémentaires santé et les réseaux de l’ESS.

  • Praticiens de médecines complémentaires et services spécialisés hospitaliers disposant de matériels médicaux de pointe permettant d’objectiver les pratiques.

  • Praticiens de médecines complémentaires et facultés.

Ressources, financements et moyens utilisés

Prestations de service autour d’action de sensibilisation.

En tant que professionnel de l’audiovisuel, prestations de vidéos de com., de création de supports pédagogiques et de films sur mesure.

Financement régional et départemental.

3 personnes sont sur l’opérationnel et disposent de matériels informatiques et audiovisuels professionnels + un local de 140 m² pour les activités.

Synthèse de mon indignation en une seule phrase

« Dans un monde où chacun triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan » (André Gide). L’information santé n’est pas claire, loyale et appropriée.

De plus il n’y a pas non plus d’éducation à la santé loyale, on désapprend le corps dès la + jeune enfance et même dès la naissance et on empêche les individus de devenir responsable est donc autonome face à leur corps, de leur santé et par extension leur VIE !

La prévention de la santé reste le monopole de la médecine allopathique alors qu’elle nous concerne tous !

La formation et l’information des professionnels est remise en question car « L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se propage et se multiplie, la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit. » (Gandhi, La jeune Inde).