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Je m’indigne des écarts de niveau de vie entre les populations vivant dans les « pays du Sud » et nos sociétés occidentales autocentrées sur leurs propres problèmes. Bien que les jeunes soient souvent dénigrés pour leur manque d’investissement dans la vie citoyenne, beaucoup d’exemples montrent l’inverse comme cette initiative culturelle à finalité de solidarité internationale expliquée ci-contre.
Dire aux associations étudiantes qu’elles peuvent se fédérer même si elles opèrent dans des secteurs d’activités à priori éloignés les unes des autres
Un engagement sincère et collectif autour d’une problématique ciblée. C’est à dire organiser une collaboration inter associatives autour d’un projet commun pour allier festivité et militantisme.
Le changement d’échelle en se fera qu’en arrivant à mobiliser d’autres villes universitaires à faire de même. Pour ce qui est de Toulouse, notre festival gagne en renommée d’éditions en éditions en augmentant notre écho médiatique.
Le regroupement d’associations ne peut tenir qu’à condition de se mettre tous ensemble derrière un objectif commun. Plus ce collectif sera nombreux, plus nous acquerrirons une lisibilité auprès du public mais également auprès des partenaires publics épaulant le projet.
Pendant une semaine, les différentes manifestations permettent aux festivaliers de s’imprégner des initiatives solidaires de développement.
Rencontre entre plusiseurs associations étudiantes ayant décidés ensemble de s’associer pour le montage d’une manifestation culturelle à but solidaire.
Ayuda, Un etai pour le Vietnam,So Acte et l’association Yasound ont lancés cette initiative qui en est maintenant à sa quatrième édition.
Mélange de ventes de billets, de nourriture et de boissons pour financer les frais occasionnés par la manifestation. Les bénéfices sont reversés dans des projets de développement. Les bénéfices pourraient être plus élevés en augmentant les tarifs des cocnerts mais le plus est que ce rassemblement soit populaire donc…
Diverses associations étudiantes basées à la faculté du Mirail, à Paul Sabatier et de l’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse se sont rassemblées pour faire naitre ce projet.
D’une année sur l’autre, de nouvelles associations rejoignent ce mouvement. Nous trouvons donc au sein de ce collectif des associations de solidarité internationale (Ayuda, Un Etai pour le Vietnam), une association de programmation musicale (Ya sound), une autre compagnie de théâtre
Des associations étudiantes se mobilisent et se fédèrent autour d’un projet à caractère humanitaire pour tenter de bouger les mentalités.
La mairie de Toulouse, les universités toulousaines du mirail, de l’arsenal, de Paul Sabatier ainsi que l’IEP de Toulouse. La radio FMR et le magasine Let’s Motiv. La liste est encore longue. Pour ‘lavoir en totalité, référez-vous sur notre site
Les associations étudiantes peuvent soutenir des projets transversaux. Les jeunes peuvent faire preuve d’initiatives
Les jeunes ont des idées et, si on les appuies, peuvent porter leurs fruits.
La solidarité est partout
Faire des associations, étudiantes ou non, de véritables partenaires pour animer culturellement une ville.
L’agrégation des forces permet d’aller plus loin que de développer son initiative de manière isolée.
Des associations étudiantes de le ville de Toulouse, présentes sur les 3 campus que compte cette métropole, ont décidés d’unir leurs forces pour sensibiliser, au travers de concerts, conférences-débats, forum associatifs et autres animations, sur des thèmes touchant à la solidarité internationale. Les tarifs pour participer à ces différentes manifestations sont modestes afin que la portée de la sensibilisation ne soit pas contrainte pour des raisons financières.
De plus, les endroits choisis pour les diverses animations sont étalés dans les 3 universités toulousaines mais également dans des endroits publics de la ville rose.
Les bénéfices générés par ce festival sont entièrement reversés à des ONG oeuvrant pour le développement de microprojets dans les pays du Sud.
Des synergies créatrices se font entre les associations. Un dialogue se crée entre des universités éloignés géographiquement et trop souvent cloisonnés en fonction de leur spécialité (Lettre/Droit et Sciences durs et politiques). Un espace de rencontre pour de nouvelles idées se fait jour
Ressources générés par la vente de billet, de rafraichissements et de nourriture accompagnées d’aides (monétaires et de matériels) aux initiatives étudiantes par les universités ainsi que du prêt de matériel par la municipalité
Je m’indigne du manque de solidarité entre les peuples des pays occidentaux et le reste du monde.